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Dieu-aime-le-monde
3 octobre 2018

L’homme ne peut être sauvé que dans le cadre de la gestion de Dieu

Tout le monde pense que la gestion de Dieu est étrange, parce que les gens pensent que la gestion de Dieu n’a aucun rapport avec l’homme. Ils pensent que cette gestion est l’œuvre de Dieu seul, que c’est seulement l’affaire de Dieu, et donc l’humanité est indifférente à la gestion de Dieu. De cette manière, le salut de l’humanité est devenu vague et indistinct, et n’est plus que de la rhétorique vide. Même si l’homme suit Dieu afin d’être sauvé et d’entrer dans la belle destination, l’homme ne se préoccupe pas de la façon dont Dieu conduit Son œuvre. L’homme ne se soucie pas de ce que Dieu a l’intention de faire et du rôle qu’il doit jouer pour être sauvé. Comme c’est tragique  ! Le salut de l’homme est indissociable de la gestion de Dieu et ne peut encore moins être séparé du plan de Dieu. Pourtant, l’homme ne tient pas compte de la gestion de Dieu et se détache donc toujours plus de Dieu. Par conséquent, un nombre croissant de personnes devient des disciples de Dieu qui ne connaissent pas les choses qui sont étroitement liées au salut de l’homme telles que ce qu’est la création, ce qu’est la croyance en Dieu, comment adorer Dieu et ainsi de suite. À ce stade, nous devons alors avoir une discussion sur la gestion de Dieu, de sorte que chaque disciple puisse clairement connaitre ce que signifie suivre Dieu et croire en Lui. Les disciples seront également capables de choisir le chemin qu’ils doivent suivre avec plus de précision, au lieu de suivre Dieu uniquement pour recevoir des bénédictions, ou éviter une catastrophe, ou réussir.

Bien que la gestion de Dieu semble pour l’homme une question profonde, elle n’est pas incompréhensible pour l’homme, car toute l’œuvre de Dieu est liée à Sa gestion, liée à l’œuvre du salut de l’homme et concerne la vie et la destination de l’humanité. L’œuvre que Dieu réalise parmi les hommes et en l’homme est, on peut le dire, très pratique et pleine de sens. Elle peut être vue par l’homme, vécue par l’homme et est loin d’être abstraite. Si l’homme est incapable d’accepter toute l’œuvre que Dieu réalise, alors quelle est la signification de cette œuvre ? Et comment une telle gestion peut-elle conduire au salut de l’homme ? Beaucoup de ceux qui suivent Dieu ne s’intéressent qu’à la façon d’obtenir des bénédictions ou d’éviter un désastre. À la mention de l’œuvre et de la gestion de Dieu, ils se taisent et perdent tout intérêt. Ils croient que connaitre de telles questions fastidieuses ne va pas développer leur vie ou est sans avantage, de telle sorte que, bien qu’ils aient entendu des messages au sujet de la gestion de Dieu, ils les traitent avec désinvolture. Et ils ne les voient pas comme quelque chose de précieux à accepter, et encore moins les reçoivent-ils comme faisant partie de leur vie. Ces personnes ont un but très simple en suivant Dieu et ce but est d’obtenir des bénédictions. De telles personnes ne se donnent pas la peine de prêter attention à tout ce qui ne se rapporte pas à cet objectif. Pour eux, croire en Dieu pour obtenir des bénédictions est le plus légitime des objectifs et la valeur même de leur foi. Ils ne sont pas affectés par quelque chose qui ne peut pas atteindre cet objectif. C’est le cas de la plupart de ceux qui croient en Dieu aujourd’hui. Leur but et leur motivation semblent légitimes, car en même temps qu’ils croient en Dieu, ils se dépensent aussi pour Dieu, se consacrent à Dieu et accomplissent leur devoir. Ils abandonnent leur jeunesse, abandonnent famille et carrière, et passent même des années à travailler loin de chez eux. Par souci de leur but ultime, ils changent leurs intérêts, modifient leur vision de la vie, et changent même la direction de leur poursuite, pourtant ils ne peuvent pas changer le but de leur croyance en Dieu. Ils s’agitent pour la gestion de leurs propres idéaux ; quelle que soit la distance qui les sépare de la route et quel que soit le nombre de difficultés et d’obstacles qui se dressent sur leur chemin, ils s’en tiennent à leurs armes et ne craignent pas la mort. Quel pouvoir les pousse à continuer à se consacrer de cette façon ? Est-ce leur conscience ? Est-ce leur grand et noble caractère ? Est-ce leur détermination à combattre les forces du mal jusqu’à la fin ? Est-ce leur foi dans laquelle ils témoignent de Dieu sans chercher de récompense ? Est-ce leur fidélité pour laquelle ils sont prêts à tout abandonner pour accomplir la volonté de Dieu ? Ou est-ce leur esprit de dévotion par lequel ils ont toujours renoncé à des demandes personnelles extravagantes ? Pour que les gens qui n’ont jamais connu l’œuvre de la gestion de Dieu puissent donner autant, c’est tout simplement un merveilleux miracle ! Pour l’instant, ne parlons pas de combien ces gens ont donné. Leur comportement, cependant, est très digne de notre analyse. Outre les avantages qui leur sont si étroitement liés, pourrait-il y avoir une autre raison pour ces gens, qui n’ont jamais compris Dieu, de donner autant pour Lui ? En cela, nous découvrons un problème qui n’a pas été identifié précédemment : la relation de l’homme avec Dieu n’est qu’une affaire d’intérêt personnel. C’est la relation entre le bénéficiaire et le donateur de bénédictions. Pour le dire simplement, c’est comme la relation entre employé et employeur. L’employé travaille seulement pour recevoir les récompenses accordées par l’employeur. Dans une relation comme celle-ci, il n’y a pas d’affection, seulement un accord ; il n’est pas question d’aimer, ni d’être aimé, seulement de charité et de miséricorde ; il n’y a pas de compréhension, il n’y a que de l’indignation et de la tromperie refoulées ; il n’y a pas d’intimité, seulement un fossé qui ne peut être comblé. Quand les choses arrivent à ce niveau, qui est capable d’inverser une telle tendance ? Et combien de personnes sont capables de comprendre véritablement à quel point cette relation est devenue désespérée ? Je crois que lorsque les gens se plongent dans la joie d’être bénis, personne ne peut imaginer à quel point une telle relation avec Dieu est embarrassante et disgracieuse.

La chose la plus triste dans la croyance de l’humanité en Dieu est que l’homme conduit sa propre gestion au milieu de l’œuvre de Dieu et ne prête pas attention à la gestion de Dieu. Le plus grand échec de l’homme réside dans la façon dont, tout en cherchant à se soumettre à Dieu et à L’adorer, l’homme construit sa propre destination idéale et calcule comment recevoir la plus grande bénédiction et la meilleure destination. Même si les gens comprennent à quel point ils sont pitoyables, odieux et pathétiques, combien sont ceux qui pourraient abandonner facilement leurs idéaux et leurs espérances ? Et qui est capable d’arrêter ses propres pas et d’arrêter de penser seulement à lui-même ? Dieu a besoin de ceux qui coopéreront étroitement avec Lui pour accomplir Sa gestion. Il a besoin de ceux qui consacreront leur esprit et leur corps à l’œuvre de Sa gestion pour se soumettre à Lui ; Il n’a pas besoin de gens qui tendent la main pour Le supplier chaque jour, et Il a encore moins besoin de ceux qui donnent un peu, puis attendent d’être récompensés. Dieu méprise ceux qui font une petite contribution et se reposent ensuite sur leurs lauriers. Il déteste ces personnes au sang froid qui ont du ressentiment vis-à-vis de l’œuvre de Sa gestion et ne veulent parler que du fait d’aller au ciel et de recevoir des bénédictions. Il a un dégoût encore plus grand pour ceux qui profitent de l’occasion offerte par l’œuvre qu’Il réalise en sauvant l’humanité. C’est parce que ces gens ne se sont jamais souciés de ce que Dieu veut atteindre et acquérir à travers l’œuvre de Sa gestion. Ils ne se préoccupent que de la manière dont ils peuvent utiliser l’occasion offerte par l’œuvre de Dieu pour obtenir des bénédictions. Ils ne se soucient pas du cœur de Dieu, étant entièrement préoccupés par leur propre avenir et leur destin. Ceux qui ont du ressentiment vis-à-vis de l’œuvre de gestion de Dieu et qui n’ont pas le moindre intérêt pour la façon dont Dieu sauve l’humanité et pour Sa volonté font, tous, ce qui leur plaît, indépendamment de l’œuvre de la gestion de Dieu. Leur comportement n’est pas gardé en mémoire par Dieu,n’est pas approuvé par Dieu et encore moins regardé avec faveur par Dieu.

Combien de créatures vivent et se reproduisent dans la vaste étendue de l’univers, en suivant continuellement la loi de la vie, en respectant une règle constante. Ceux qui meurent emportent avec eux les histoires des vivants et ceux qui vivent répètent la même histoire tragique de ceux qui sont morts. Et donc, l’humanité ne peut s’empêcher de se demander : pourquoi vivons-nous ? Et pourquoi devons-nous mourir ? Qui est aux commandes de ce monde ? Et qui a créé cette humanité ? L’homme a-t-il vraiment été créé par Dame Nature ? L’humanité est-elle vraiment au contrôle de son propre destin ?… Pendant des milliers d’années, l’humanité s’est inlassablement posé ces questions. Malheureusement, plus l’humanité est devenue obsédée par ces questions, plus sa soif pour la science s’est faite pressante. La science offre une gratification brève et une jouissance temporaire pour la chair, mais elle est loin d’être suffisante pour libérer l’humanité de l’isolement, de la solitude, de la terreur et de l’impuissance à peine dissimulées au plus profond de son âme. L’humanité utilise simplement les connaissances scientifiques que l’œil nu peut voir et que le cerveau peut comprendre pour anesthésier son cœur, pourtant cela ne peut empêcher les hommes d’explorer les mystères.L’humanité ne sait pas qui est le Souverain de toutes les choses dans l’univers, et encore moins connaît-elle le commencement et l’avenir de l’humanité. L’humanité vit seulement, nécessairement, dans le cadre de cette loi. Nul ne peut y échapper, et nul ne peut le changer, car il n’y en a, entre toutes les choses et dans les cieux, qu’Un seul, d’éternité en éternité, qui détient la souveraineté sur tout. Il est Celui qui n’a jamais été vu par l’homme, Celui que l’humanité n’a jamais connu et qui n’a jamais cru en Son existence, pourtant Il est Celui qui a insufflé le souffle aux ancêtres de l’humanité et a donné la vie à l’humanité. Il est Celui qui pourvoit aux besoins de l’humanité et la nourrit pour son existence, et qui guide l’humanité jusqu’à nos jours. De plus, c’est de Lui et de Lui seul que dépend la survie de l’humanité. Il détient la souveraineté sur toutes les choses et régit tous les êtres vivants de l’univers. Il commande les quatre saisons, et c’est Lui qui fait venir le vent, le gel, la neige et la pluie. Il donne à l’humanité le soleil et provoque la tombée de la nuit. C’est Lui qui a conçu les cieux et la terre, mettant à la disposition de l’homme les montagnes, les lacs et les rivières et tous les êtres vivants qui s’y trouvent. Son action est partout, Sa puissance est partout, Sa sagesse est partout et Son autorité est partout. Chacune de ces lois et de ces règles est l’incarnation de Son action, et chacune d’elles révèle Sa sagesse et Son autorité. Qui peut se dispenser de Sa souveraineté ? Et qui peut se décharger de Ses desseins ? Toutes les choses existent sous Son regard et, de plus, toutes les choses vivent sous Sa souveraineté. Par Son action et Sa puissance, l’humanité n’a pas d’autre choix que de reconnaitre le fait qu’Il existe réellement et qu’Il détient la souveraineté sur toutes les choses. Aucune autre chose en dehors de Lui ne peut commander l’univers, encore moins pourvoir sans cesse aux besoins de cette humanité. Indépendamment du fait que tu sois capable de reconnaitre l’action de Dieu, et quelle que soit ta croyance en l’existence de Dieu, il ne fait aucun doute que ton destin réside dans l’ordination de Dieu et il ne fait aucun doute que Dieu aura toujours la souveraineté sur toutes les choses. Son existence et Son autorité ne sont pas fondées sur le fait qu’elles peuvent être, ou non, reconnues et comprises par l’homme. Lui seul connaît le passé, le présent et l’avenir de l’homme, et Lui seul peut déterminer le sort de l’humanité. Que tu sois capable ou non d’accepter cette réalité, il n’en demeure pas moins que, très bientôt, l’humanité témoignera de tout cela de ses propres yeux, et c’est ce fait que Dieu va bientôt mettre en œuvre. L’homme vit et meurt sous les yeux de Dieu. L’homme vit pour la gestion de Dieu et quand ses yeux se ferment pour la dernière fois, c’est aussi pour cette même gestion. Continuellement, l’homme va et vient, d’un côté à l’autre. Tout cela, sans exception, fait partie de la souveraineté et des desseins de Dieu. La gestion de Dieu va toujours de l’avant et n’a jamais cessé. Il fera en sorte que l’humanité prenne conscience de Son existence, qu’elle ait confiance en Sa souveraineté, qu’elle voit Ses actes et qu’elle retourne à Son royaume. C’est Son plan et c’est l’œuvre qu’Il accomplit depuis des milliers d’années.

L’œuvre de gestion de Dieu a commencé à la création du monde et l’homme est au cœur de cette œuvre. On peut dire que Dieu a créé toutes les choses pour le bien de l’homme. Parce que l’œuvre de Sa gestion s’étend sur des milliers d’années, et ne s’est pas faite en l’espace de seulement quelques minutes ou quelques secondes, ou en un clin d’œil, ou en l’espace d’un ou deux ans, Il a dû créer d’autres choses nécessaires à la survie de l’homme, comme le soleil, la lune, toutes sortes de créatures vivantes, et la nourriture et un environnement vivant pour l’humanité. C’était le début de la gestion de Dieu.

Après cela, Dieu a livré l’humanité à Satan, l’homme a vécu dans le domaine de Satan, et cela a graduellement conduit à l’œuvre de Dieu de la première ère : l’histoire de l’ère de la Loi… Pendant plusieurs milliers d’années de l’ère de la Loi, les hommes s’habituèrent aux orientations de l’ère de la Loi, et ils commencèrent à les prendre à la légère, et, peu à peu, ils abandonnèrent la protection de Dieu. Et ainsi, en même temps qu’ils s’en tenaient à la loi, ils adorèrent des idoles et commirent de mauvais actes. Ils n’étaient pas sous la protection de l’Éternel et vivaient simplement leur vie devant l’autel du temple. En fait, l’œuvre de Dieu leur avait échappé depuis longtemps, et même si les Israélites étaient encore attachés à la loi, et prononçaient le nom de l’Éternel, et même s’ils croyaient fièrement qu’ils étaient l’unique peuple de l’Éternel et étaient les élus de l’Éternel, la gloire de Dieu les avait abandonnés discrètement…

Quand Dieu fait Son œuvre, Il quitte toujours tranquillement un endroit tout en exécutant en douceur la nouvelle œuvre qu’Il commence ailleurs. Cela semble incroyable pour les gens qui sont engourdis. Les gens ont toujours chéri ce qui est ancien et ont considéré les choses nouvelles, inhabituelles, avec une certaine hostilité, les voyant comme des nuisances. Et ainsi, quelle que soit la nouvelle œuvre que Dieu réalise, du commencement à la fin, l’homme est le dernier parmi toutes les choses à en avoir connaissance.

Comme cela a toujours été le cas, après l’œuvre de l’Éternel à l’ère de la Loi, Dieu a commencé Sa nouvelle œuvre de la deuxième étape : assumant la chair – étant incarné en tant qu’homme pendant dix, vingt ans – parlant et réalisant Son œuvre parmi les croyants. Pourtant, sans exception, personne ne savait, et seul un petit nombre de personnes a reconnu qu’Il était Dieu fait chair après que le Seigneur Jésus a été cloué sur la croix et est ressuscité. De manière problématique, un homme prénommé Paul est apparu, se positionnant en inimitié mortelle envers Dieu. Même après avoir été frappé et après être devenu un apôtre, la vieille nature de Paul n’a pas changé et il a emprunté le chemin de l’opposition à Dieu. Pendant le temps qu’il a travaillé, Paul a écrit de nombreuses épîtres ; malheureusement, les générations suivantes ont pris ses épîtres comme étant les paroles de Dieu, au point où elles ont été incluses dans le Nouveau Testament et confondues avec les paroles prononcées par Dieu. C’est vraiment une grande disgrâce depuis l’avènement des Écritures ! Et cette erreur n’a-t-elle pas été commise en raison de la stupidité de l’homme ? Ils ignoraient que, dans les enregistrements de l’œuvre de Dieu à l’ère de la Grâce, les épîtres ou les écrits spirituels de l’homme ne devaient pas être là pour imiter l’œuvre et les paroles de Dieu. Mais ce n’est pas là la question, alors revenons à notre sujet de départ. Dès que la seconde étape de l’œuvre de Dieu fut achevée – après la crucifixion –, l’œuvre de Dieu consistant à libérer l’homme du péché (c’est-à-dire, récupérer l’homme des mains de Satan) a été accomplie. Ainsi, à partir de ce moment-là, l’humanité n’avait qu’à accepter le Seigneur Jésus comme étant le Sauveur pour que ses péchés soient pardonnés. Concrètement, les péchés de l’homme n’étaient plus une barrière pour atteindre le salut et se présenter devant Dieu et n’étaient plus le levier utilisé par Satan pour accuser l’homme. C’est parce que Dieu Lui-même avait accompli une œuvre réelle, était devenu à l’image de la chair pécheresse et en était un avant-goût, et Dieu Lui-même était le sacrifice d’expiation. De cette manière, l’homme est descendu de la croix, étant ainsi racheté et sauvé grâce à la chair de Dieu, la ressemblance de cette chair pécheresse. Et ainsi, après être resté captif de Satan, l’homme s’est rapproché de l’acceptation du salut devant Dieu. Bien sûr, cette étape de l’œuvre était la gestion de Dieu qui était un premier pas de l’ère de la Loi et à un niveau plus profond que l’ère de la Loi.

Telle est la gestion de Dieu : confier l’humanité à Satan – une humanité qui ne sait qui est Dieu, qui est le Créateur, comment adorer Dieu et pourquoi il est nécessaire de se soumettre à Dieu – et donner libre cours à la corruption de Satan. Étape par étape, Dieu récupère alors l’homme des mains de Satan, jusqu’à ce que l’homme adore totalement Dieu et renonce à Satan. C’est la gestion de Dieu. Tout cela ressemble à une histoire mythique et elle semble troublante. Les gens pensent que c’est comme une histoire mythique, et c’est parce qu’ils n’ont aucune idée de ce qui est arrivé à l’homme au cours des derniers millénaires, encore moins savent-ils combien d’histoires se sont déroulées dans l’immensité de cet univers. En outre, c’est parce qu’ils ne peuvent pas apprécier le très étonnant et effrayant monde qui existe au-delà du monde matériel, mais que leurs yeux mortels les empêchent de voir. Cela semble incompréhensible pour l’homme, et c’est parce que l’homme ne comprend pas la signification du salut de Dieu de l’humanité et la signification de l’œuvre de gestion de Dieu, et ne comprend pas comment Dieu voudrait finalement que soit l’humanité. Est-ce une humanité apparentée à Adam et Eve, non corrompue par Satan ? Non ! La gestion de Dieu vise à gagner un groupe de personnes qui adorent Dieu et se soumettent à Lui. Cette humanité a été corrompue par Satan, mais ne voit plus Satan comme son père ; elle reconnaît la face hideuse de Satan et le rejette, et vient devant Dieu pour accepter Son jugement et Son châtiment. Elle sait ce qui est laid et comment cela contraste avec ce qui est saint, et elle reconnaît la grandeur de Dieu et la malveillance de Satan. Une telle humanité ne sera plus au service de Satan, elle n’adorera plus Satan, elle ne se consacrera plus à Satan. C’est parce qu’ils sont un groupe de personnes qui ont vraiment été gagnées par Dieu. C’est la signification de la gestion de l’humanité par Dieu. Pendant l’œuvre de gestion de Dieu de cette époque, l’humanité était l’objet de la corruption de Satan et, en même temps, l’objet du salut de Dieu, ainsi que l’objet du combat entre Dieu et Satan. En même temps qu’Il réalise Son œuvre, Dieu récupère progressivement l’homme des mains de Satan et, ainsi, l’homme se rapproche de plus en plus de Dieu…

Et ensuite est venue l’ère du Règne, qui est une étape plus concrète de l’œuvre et, cependant, est aussi pour l’homme la plus difficile à accepter. C’est parce que plus l’homme se rapproche de Dieu, plus la verge de Dieu s’approche de l’homme et plus le visage de Dieu apparaît nettement devant l’homme. Après la rédemption de l’humanité,l’homme réintègre officiellement la famille de Dieu. L’homme a pensé que le moment des réjouissances était maintenant arrivé, pourtant il doit directement faire face à l’assaut de Dieu, un assaut tel que personne n’aurait imaginé : il s’avère que c’est un baptême que le peuple de Dieu doit « apprécier ». Devant un tel traitement, les gens n’ont d’autre choix que de s’arrêter et de penser en eux-mêmes : je suis l’agneau, égaré depuis de nombreuses années, pour qui Dieu a dépensé tant pour me racheter, alors pourquoi Dieu me traite-t-Il de la sorte ? Est-ce une façon pour Dieu de se moquer de moi et de m’exposer ? … Après que des années se sont écoulées, l’homme s’est endurci, ayant connu les souffrances de l’épurement et du châtiment. Bien que l’homme ait perdu la « gloire » et le « charme » des temps passés, il a réussi inconsciemment à comprendre les principes du comportement humain, et a réussi à apprécier les années que Dieu a consacrées à sauver l’humanité. L’homme commence petit à petit à haïr sa propre barbarie. Il commence à détester son degré de sauvagerie, et tous les malentendus envers Dieu, et les demandes déraisonnables qu’il Lui a formulées. Le temps ne peut pas être inversé ; les événements passés deviennent de regrettables souvenirs pour l’homme, et les paroles et l’amour de Dieu deviennent la force motrice dans la nouvelle vie de l’homme. Les blessures de l’homme se cicatrisent de jour en jour, ses forces reviennent, et il se lève et regarde le visage du Tout-Puissant… seulement pour découvrir qu’Il a toujours été à mes côtés, et que Son sourire et Sa belle expression sont encore si émouvants. Dans Son cœur, Il reste toujours soucieux de l’humanité qu’Il a créée, et Ses mains sont toujours aussi chaudes et puissantes qu’au commencement. C’est comme si l’homme retournait au jardin d’Éden, pourtant, cette fois-ci, l’homme ne se soumet plus aux tentations du serpent, ne se détourne plus de la face de l’Éternel. L’homme s’agenouille devant Dieu, lève les yeux vers le visage souriant de Dieu et offre son sacrifice le plus précieux. Ô ! Mon Seigneur, mon Dieu !

L’amour et la compassion de Dieu sont omniprésents dans chaque détail de Son œuvre de gestion et, sans tenir compte de la capacité des gens à comprendre les bonnes intentions de Dieu, Il réalise toujours sans relâche l’œuvre qu’Il a l’intention d’accomplir. Quelle que soit la capacité des gens à comprendre la gestion de Dieu, les avantages et l’assistance de l’œuvre effectuée par Dieu peuvent être appréciés par chacun. Peut-être qu’aujourd’hui, tu n’as pas ressenti l’amour ou la vie que Dieu offre, mais tant que tu n’abandonnes pas Dieu et ne renonces pas à ta détermination à chercher la vérité, alors il y aura toujours un jour où le sourire de Dieu te sera révélé. Car le but de l’œuvre de gestion de Dieu est de récupérer l’humanité qui est dans le domaine de Satan, de ne pas abandonner l’humanité qui a été corrompue par Satan et qui s’oppose à Dieu.

Le 23 septembre 2005

Source :  L'Église de Dieu Tout-Puissant

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