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Dieu-aime-le-monde
21 septembre 2018

Voir l’apparition de Dieu dans Son jugement et Son châtiment

Comme les centaines de millions d’autres qui suivent le Seigneur Jésus-Christ, nous obéissons aux lois et aux commandements de la Bible, profitons de la grâce  abondante du Seigneur Jésus-Christ et nous nous rassemblons, prions, louons et servons dans le nom du Seigneur Jésus-Christ – et tout cela, nous le faisons sous le soin et la protection du Seigneur. Nous sommes souvent faibles, et nous sommes aussi souvent forts. Nous croyons que toutes nos actions sont en accord avec les enseignements du Seigneur. Il va sans dire, alors, que nous croyons également que nous sommes sur le chemin de l’obéissance à la volonté du Père dans les cieux. Nous désirons ardemment le retour du Seigneur Jésus, Sa descente glorieuse, la fin de notre vie sur terre, l’apparition du royaume et tout ce qui a été prédit dans l’Apocalypse : le Seigneur arrive, Il apporte le désastre, Il récompense les bons et punit les méchants et Il emmène tous ceux qui Le suivent et qui accueillent Son retour à Sa rencontre dans les airs. Dès que nous songeons à cela, nous ne pouvons qu’être submergés par l’émotion et remplis de gratitude à l’idée d’être nés dans les derniers jours et d’avoir la chance d’assister à la venue du Seigneur. Bien que nous ayons enduré la persécution, nous avons obtenu en retour « au delà de toute mesure, un poids éternel de gloire. » Quelle bénédiction ! Toute cette attente et la grâce accordée par le Seigneur nous rendent constamment sobres dans la prière et nous rendent plus appliqués à nous rassembler. Peut-être que dans un an, peut-être que demain, même encore peut-être qu’en l’espace d’un instant plus court que ce que l’homme peut concevoir, le Seigneur descendra soudain, apparaissant parmi un groupe de gens qui L’auront attendu avec une fervente sollicitude. Nous nous précipitons pour nous devancer les uns les autres, personne ne voulant être derrière, entièrement en vue d’être dans le premier groupe à voir l’apparition du Seigneur, d’être parmi ceux qui sont enlevés. Nous avons tout donné, sans tenir compte du coût, pour la venue de ce jour, certains quittant leur emploi, certains abandonnant leur famille, certains renonçant au mariage et certains faisant même don de toutes leurs économies. Que d’actes de dévotion désintéressés ! À coup sûr, une telle sincérité et une telle loyauté surpassent même les saints des temps passés ! Comme le Seigneur accorde la grâce à qui Il veut et fait preuve de miséricorde à qui Il veut, nos actes de dévotion et de dépense, nous le croyons, ont depuis longtemps été vus par Ses yeux. De même, nos prières sincères ont aussi atteint Ses oreilles et nous avons confiance que le Seigneur nous donnera une récompense pour notre dévouement. De plus, Dieu a été bienveillant envers nous avant qu’Il ne crée le monde, et les bénédictions et les promesses qu’Il nous a données, nul ne peut les reprendre. Nous faisons tous des projets pour l’avenir et, naturellement, nous avons transformé notre dévouement et notre dépense en jetons ou en capital à échanger contre le fait d’être enlevés pour rencontrer le Seigneur dans les airs. En plus de cela, nous nous sommes placés, sans la moindre hésitation, sur le trône de l’avenir, pour présider toutes les nations et tous les peuples, ou pour régner en rois. Tout cela, nous le considérons comme sûr, comme quelque chose auquel il faut s’attendre.

Nous dédaignons tous ceux qui sont contre le Seigneur Jésus ; ils finiront tous par être anéantis. Qui leur a dit de ne pas croire que le Seigneur Jésus est le Sauveur ? Bien sûr, il y a des fois où nous imitons le Seigneur Jésus en étant compatissants envers les gens du monde, car ils ne comprennent pas et il est juste que nous soyons tolérants et indulgents à leur égard. Tout ce que nous faisons est en accord avec les paroles  de la Bible, car tout ce qui n’est pas conforme à la Bible, c’est de l’hétérodoxie et de l’hérésie. Une croyance de ce genre est profondément enracinée dans l’esprit de chacun de nous. Notre Seigneur est dans la Bible, et si nous ne nous écartons pas de la Bible, nous ne nous écarterons pas du Seigneur ; si nous obéissons à ce principe, nous gagnerons le salut. Nous nous encourageons mutuellement, nous soutenant les uns les autres, et chaque fois que nous nous rassemblons, nous espérons que tout ce que nous disons et faisons est en accord avec la volonté du Seigneur et sera accepté par le Seigneur. En dépit de la forte hostilité de notre environnement, notre cœur est rempli d’allégresse. Quand nous songeons aux bénédictions qui sont si facilement accessibles, y a-t-il quoi que ce soit que nous ne puissions pas laisser de côté ? Y a-t-il quoi que ce soit dont nous sommes réticents à nous départir ? Tout cela va sans dire et tout cela s’étend sous les yeux attentifs de Dieu. Nous, cette poignée de nécessiteux qui ont été retirés du tas de fumier, nous sommes exactement comme tous ceux qui marchent ordinairement à la suite du Seigneur Jésus : nous rêvons d’être enlevés, d’être bénis et de gouverner toutes les nations. Notre corruption a été mise à nu sous les yeux de Dieu et nos désirs et notre avidité ont été condamnés sous les yeux de Dieu. Néanmoins, tout cela se produit très ordinairement et, une fois encore, très logiquement, et aucun de nous ne se demande si nos aspirations sont bonnes, encore moins ne doute de la justesse de tout ce à quoi nous nous accrochons. Qui peut connaitre la volonté de Dieu ? Ce qu’est au juste ce chemin que l’homme emprunte, nous ne savons pas le chercher ou l’explorer, encore moins nous en préoccuper. Car nous ne nous soucions que de savoir si nous pouvons être enlevés, si nous pouvons être bénis, s’il y a une place pour nous dans le royaume des cieux et si nous aurons une part de l’eau du fleuve de la vie et du fruit de l’arbre de vie. N’est-ce pas pour gagner ces choses-là que nous croyons au Seigneur et devenons ceux qui marchent à Sa suite ? Nos péchés ont été pardonnés, nous nous sommes repentis, nous avons bu la coupe de vin amère et nous avons pris la croix sur notre dos. Qui peut dire que le Seigneur ne sera pas satisfait d’accepter le prix que nous avons payé ? Qui peut dire que nous n’avons pas préparé assez d’huile ? Nous ne souhaitons pas être ces vierges folles, ou l’un de ceux qui sont abandonnés. De plus, nous prions constamment, demandant au Seigneur de nous garder d’être trompés par de faux Christs, car il est dit dans la Bible : « Si quelqu’un vous dit alors : Le Christ est ici, ou : Il est là, ne le croyez pas. Car il s’élèvera de faux Christs et de faux prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s’il était possible, même les élus » (Matthieu 24:23-24). Nous avons tous mémorisé ces versets de la Bible, nous les connaissons par cœur et nous les considérons comme un précieux trésor, comme la vie et comme une lettre de crédit qui décide si nous pouvons être sauvés ou enlevés…

Pendant des milliers d’années, les vivants ont expiré, emportant leurs aspirations et leurs rêves avec eux, mais pour ce qui est de savoir s’ils sont allés au royaume des cieux ou non, personne ne le sait vraiment. Les morts reviennent, ayant oublié toutes les histoires qui ont jadis eu lieu, et ils suivent encore les enseignements et les voies de leurs ancêtres. Et de cette manière, alors que les années passent et que les jours se succèdent, personne ne sait si notre Seigneur Jésus, notre Dieu, accepte véritablement tout ce que nous faisons. Tout ce que nous pouvons faire, c’est attendre avec impatience d’avoir un résultat et spéculer sur tout ce qu’il adviendra. Pourtant, Dieu a gardé le silence pendant tout ce temps, ne nous apparaissant jamais, ne nous parlant jamais. Et donc, suivant la Bible et en accord avec les signes, nous faisons obstinément des jugements à propos de la volonté et du tempérament de Dieu. Nous nous sommes habitués au silence de Dieu ; nous nous sommes habitués à mesurer la justesse ou l’erreur de notre conduite au moyen de notre propre façon de penser ; nous nous sommes habitués à compter sur notre connaissance, nos conceptions et notre éthique morale au lieu de compter sur les exigences que Dieu a envers nous ; nous nous sommes habitués à bénéficier de la grâce de Dieu ; nous nous sommes habitués à ce que Dieu nous vienne en aide dès que nous en avons besoin ; nous nous sommes habitués à tendre les mains vers Dieu pour toutes choses et à donner des ordres à Dieu ; nous nous sommes aussi habitués à nous conformer aux règles sans prêter attention à la manière dont le Saint-Esprit nous guide ; et, plus encore, nous nous sommes habitués à des jours où nous sommes notre propre maître. Nous croyons en un tel Dieu, que nous n’avons jamais rencontré face à face. Des questions comme celles de savoir ce qu’est Son tempérament, ce qu’Il a et est, ce qu’est Son image, si, oui ou non, nous le reconnaîtrons quand Il viendra et ainsi de suite : rien de tout cela n’est important. Ce qui est important, c’est qu’Il est dans notre cœur et que nous L’attendons tous, et c’est suffisant que nous soyons capables d’imaginer qu’Il est comme ceci ou comme cela. Nous apprécions notre foi et chérissons notre spiritualité. Nous considérons toutes choses comme du fumier et foulons toutes choses aux pieds. Parce que nous marchons à la suite du Seigneur de gloire, peu importe la longueur et la difficulté du voyage, peu importe les épreuves et les dangers qui s’abattent sur nous, rien ne peut arrêter nos pas alors que nous suivons le Seigneur. « Un fleuve d’eau de la vie, limpide comme du cristal, qui sortait du trône de Dieu et de l’agneau. Au milieu de la place de la ville et sur les deux bords du fleuve, il y avait un arbre de vie, produisant douze fois des fruits, rendant son fruit chaque mois, et dont les feuilles servaient à la guérison des nations. Il n’y aura plus d’anathème. Le trône de Dieu et de l’agneau sera dans la ville ; ses serviteurs le serviront et verront sa face, et son nom sera sur leurs fronts. Il n’y aura plus de nuit ; et ils n’auront besoin ni de lampe ni de lumière, parce que le Seigneur Dieu les éclairera. Et ils régneront aux siècles des siècles » (Apocalypse 22:1-5). Chaque fois que nous chantons ces paroles, notre cœur déborde d’une joie et d’une satisfaction sans limites et des larmes coulent de nos yeux. Merci au Seigneur de nous avoir choisis, merci au Seigneur pour Sa grâce. Il nous a donné le centuple dans cette vie, nous a donné la vie éternelle dans le monde à venir. S’Il devait nous demander de mourir maintenant, nous le ferions sans la moindre protestation. Ô Seigneur ! S’il Te plaît, viens vite ! Vu comme nous Te désirons si désespérément et avons tout abandonné pour Toi, ne tarde pas une seule minute, une seule seconde de plus.

Dieu est silencieux et ne nous est jamais apparu, pourtant Son œuvre n’a jamais cessé. Il inspecte toute la terre, ordonne à toutes choses et voit toutes les paroles et tous les actes de l’homme. Il conduit Sa gestion, à pas mesurés et selon Son plan, en silence et sans effet théâtral, pourtant Ses pas progressent, un par un, toujours plus près de l’humanité, et le siège de Son jugement se déploie dans l’univers à la vitesse de l’éclair, après quoi Son trône descend immédiatement au milieu de nous. Quelle scène majestueuse que celle-là, quel tableau imposant et solennel ! Comme une colombe et comme un lion rugissant, l’Esprit vient au milieu de nous. Il est sagesse, Il est justice et majesté et Il vient subrepticement au milieu de nous, exerçant l’autorité et rempli d’amour et de miséricorde. Personne n’a conscience de Son arrivée, personne n’accueille Son arrivée et, en plus de cela, personne ne sait tout ce qu’Il s’apprête à faire. La vie de l’homme continue comme avant, son cœur n’a pas changé, et les jours se succèdent comme d’habitude. Dieu vit parmi nous, un homme comme les autres hommes, comme l’un des plus insignifiants de ceux qui marchent à Sa suite et comme un croyant ordinaire. Il a Ses propres quêtes, Ses propres buts et, en plus de cela, Il a une divinité que les hommes ordinaires ne possèdent pas. Personne n’a remarqué l’existence de Sa divinité et personne n’a perçu la différence entre Son essence et celle de l’homme. Nous vivons avec Lui, sans contrainte et sans peur, car à nos yeux, Il n’est qu’un croyant insignifiant. Il surveille chacun de nos mouvements et toutes nos pensées et toutes nos idées sont mises à nues devant Lui. Personne ne s’intéresse à Son existence, personne n’imagine quoi que ce soit sur Sa fonction et, de plus, personne n’a le moindre soupçon au sujet de Son identité. Tout ce que nous faisons, c’est continuer nos quêtes, comme s’Il n’avait rien à voir avec nous…

Incidemment, le Saint-Esprit exprime un passage de paroles « par » Lui et, même si cela paraît très inattendu, nous reconnaissons néanmoins cela comme une déclaration venant de Dieu et l’acceptons volontiers de Dieu. C’est parce que, indépendamment de la question de savoir qui exprime ces paroles, tant qu’elles viennent du Saint-Esprit, nous devrions les accepter et ne pouvons pas les nier. La prochaine déclaration pourrait venir par moi, ou par vous, ou par lui. Qui que ce soit, tout est la grâce de Dieu. Mais peu importe qui c’est, nous ne pouvons pas adorer cette personne, car quoi qu’il en soit, cette personne ne peut vraiment pas être Dieu, pas plus qu’il ne serait question pour nous de choisir une personne ordinaire comme celle-là pour être notre Dieu. Notre Dieu est si grand et si honorable ; comment une personne aussi insignifiante pourrait-elle se tenir à Sa place ? De plus, nous attendons que Dieu vienne et nous reprenne dans le royaume des cieux, alors comment quelqu’un d’aussi insignifiant pourrait-il être à la hauteur d’une tâche aussi importante et aussi ardue ? Si le Seigneur revient, cela doit être sur une nuée blanche, afin que toutes les multitudes puissent Le voir. Comme ce sera glorieux ! Comment est-ce possible qu’Il puisse Se cacher subrepticement au sein d’un groupe de gens ordinaires ?

Et pourtant, c’est cet homme ordinaire, caché au milieu des gens, qui accomplit l’œuvre nouvelle consistant à nous sauver. Il ne nous offre aucune explication, Il ne nous dit pas non plus pourquoi Il est venu, mais accomplit simplement l’œuvre qu’Il a l’intention de faire à pas mesurés et selon Son plan. Ses paroles et Ses déclarations deviennent de plus en plus fréquentes. De la consolation, de l’exhortation, du rappel et de la mise en garde au reproche et à la discipline ; d’un ton qui est doux et léger à des paroles qui sont violentes et majestueuses : rien ne fait autre chose qu’accorder la miséricorde à l’homme et inculquer l’appréhension en lui. Tout ce qu’Il dit vient toucher les secrets profondément enfouis en nous, Ses paroles percent notre cœur, percent notre esprit et nous laissent remplis d’une honte insupportable, sachant à peine où nous cacher. Nous commençons à nous demander si le Dieu présent dans le cœur de cet homme nous aime vraiment et ce qu’Il envisage de faire au juste. Peut-être ne pouvons-nous être enlevés qu’après avoir enduré ces souffrances ? Dans notre tête, nous faisons des calculs… au sujet de la destination à venir et au sujet de notre futur destin. Tout de même, comme avant, aucun d’entre nous ne croit que Dieu a déjà pris chair pour œuvrer au milieu de nous. Bien qu’Il nous ait accompagnés pendant si longtemps, bien qu’Il ait déjà prononcé tant de paroles en face à face avec nous, nous refusons d’accepter qu’un homme ordinaire tel que Lui soit le Dieu de notre avenir et nous désirons encore moins confier le contrôle de notre avenir et de notre destin à cet homme insignifiant. Nous profitons de Sa part d’une éternelle provision d’eau de la vie et, par Lui, nous vivons face à face avec Dieu. Mais nous sommes seulement reconnaissants pour la grâce du Seigneur Jésus dans les cieux et n’avons jamais prêté aucune attention aux sentiments de cet homme ordinaire qui possède la divinité. Tout de même, comme avant, Il accomplit Son œuvre, humblement caché dans la chair, exprimant le plus profond de Son cœur, comme s’Il était insensible au rejet de l’humanité à Son égard, comme s’Il pardonnait éternellement la puérilité et l’ignorance de l’homme et comme s’Il était à jamais tolérant devant l’attitude irrévérencieuse de l’homme envers Lui.

À notre insu, cet homme insignifiant nous a conduits dans les étapes successives de l’œuvre de Dieu. Nous subissons un nombre incalculable d’épreuves, supportons d’innombrables châtiments et sommes testés par la mort. Nous en apprenons sur le tempérament juste et majestueux de Dieu, jouissons aussi de Son amour et de Sa miséricorde, en venons à apprécier le grand pouvoir et la grande sagesse de Dieu, sommes témoins de la beauté de Dieu et voyons l’ardent désir de Dieu de sauver l’homme. Dans les paroles de cet homme ordinaire, nous en venons à connaitre le tempérament et l’essence de Dieu, à comprendre la volonté de Dieu, à connaitre la nature et l’essence de l’homme et à voir le chemin du salut et de la perfection. Ses paroles nous font « mourir » et elles nous font « renaître » aussi ; Ses paroles nous apportent le réconfort, mais nous laissent aussi rongés par la culpabilité et par un sentiment d’être redevables ; Ses paroles nous apportent la joie et la paix, mais aussi une douleur infinie. Parfois, nous sommes comme des agneaux destinés à l’abattoir entre Ses mains ; parfois, nous sommes comme la prunelle de Ses yeux et jouissons de Son amour tendre ; parfois, nous sommes comme Son ennemi et, sous Son regard, nous sommes réduits en cendres par Sa colère. Nous sommes l’espèce humaine sauvée par Lui, nous sommes les vers à Ses yeux et nous sommes les brebis perdues que, jour et nuit, Il veut retrouver à tout prix. Il est miséricordieux envers nous, Il nous méprise, Il nous élève, Il nous console et nous exhorte, Il nous guide, Il nous éclaire, Il nous châtie et nous discipline et Il nous maudit même. Jour et nuit, Il ne cesse jamais de Se soucier de nous et nous protège et S’occupe de nous, jour et nuit, ne quittant jamais notre côté, mais Il répand pour nous le sang de Son cœur et paie pour nous n’importe quel prix. À l’intérieur des déclarations de ce petit corps de chair ordinaire, nous avons joui de l’intégralité de Dieu et vu la destination que Dieu nous a accordée. Malgré cela, la vanité sème toujours la zizanie dans notre cœur et nous ne voulons toujours pas accepter activement un homme tel que celui-là comme notre Dieu. Bien qu’Il nous ait donné tellement de manne, tellement de choses dont nous pouvons profiter, rien de cela ne peut prendre la place du Seigneur dans notre cœur. Ce n’est qu’avec une grande réticence que nous honorons l’identité et le statut spéciaux de cet homme. Tant qu’Il n’ouvre pas la bouche pour nous demander de reconnaitre qu’Il est Dieu, nous ne prendrons jamais l’initiative de Le reconnaitre comme le Dieu qui doit bientôt arriver et œuvre pourtant depuis longtemps au milieu de nous.

Dieu continue Ses déclarations, employant diverses méthodes et perspectives pour nous avertir de ce que nous devrions faire tout en donnant en même temps voix à Son cœur. Ses paroles tiennent un pouvoir vital, nous montrent le chemin que nous devrions emprunter et nous permettent de comprendre ce qu’est la vérité. Nous commençons à être attirés par Ses paroles, nous commençons à porter notre attention sur Son ton et Sa manière de parler et, inconsciemment, nous commençons à nous intéresser aux sentiments les plus profonds de cet homme quelconque. Il régurgite le sang de Son cœur en œuvrant pour nous, perd le sommeil et l’appétit à cause de nous, pleure pour nous, soupire pour nous, malade, Il gémit pour nous, endure l’humiliation au nom de notre destination et de notre salut, et notre apathie et notre rébellion font couler de Son cœur des larmes et du sang. Cette façon d’être et d’avoir n’appartient à aucune personne ordinaire, pas plus qu’elle ne peut être possédée ou atteinte par un être humain corrompu, quel qu’il soit. Il fait montre d’une tolérance et d’une patience qu’aucune personne ordinaire ne possède et Son amour n’est pas quelque chose dont est doté un être créé, quel qu’il soit. Personne, à part Lui, ne peut connaitre toutes nos pensées, avoir une compréhension si claire et si complète de notre nature et de notre essence, juger la rébellion et la corruption de l’humanité ou nous parler et œuvrer parmi nous comme cela au nom de Dieu qui est dans les cieux. Personne, à part Lui, n’est doté de l’autorité, de la sagesse et de la dignité de Dieu ; le tempérament de Dieu et ce que Dieu a et est se manifestent en Lui dans leur intégralité. Personne, à part Lui, ne peut nous montrer le chemin et nous apporter la lumière. Personne, à part Lui, ne peut révéler les mystères que Dieu n’a pas dévoilés, de la création à aujourd’hui. Personne, à part Lui, ne peut nous sauver de la servitude imposée par Satan et de notre propre tempérament corrompu. Il représente Dieu. Il exprime le cœur le plus profond de Dieu, les exhortations de Dieu et les paroles de jugement de Dieu envers l’humanité. Il a commencé un nouvel âge, une nouvelle ère et inauguré une terre et un ciel nouveaux et une nouvelle œuvre, et Il nous a apporté l’espoir, mettant fin à la vie que nous menions sans direction et permettant à tout notre être de voir, dans une clarté totale, le chemin du salut. Il a conquis tout notre être et gagné notre cœur. À partir de ce moment, notre esprit est devenu conscient et notre humeur semble être ranimée : cette personne ordinaire, insignifiante, qui vit parmi nous et que nous rejetons depuis longtemps, n’est-ce pas le Seigneur Jésus qui occupe toujours nos pensées, que nous soyons éveillés ou en train de rêver, et que nous désirons ardemment nuit et jour ? C’est Lui ! C’est vraiment Lui ! Il est notre Dieu ! Il est la vérité, le chemin et la vie ! Il nous a permis de revivre et de voir la lumière et a empêché notre cœur de s’égarer. Nous sommes de retour dans la maison de Dieu, nous sommes de retour devant Son trône, nous sommes face à face avec Lui, nous avons vu Son visage et nous avons vu la route qui s’étend devant nous. En ce moment, notre cœur est complètement conquis par Lui ; nous ne doutons plus de qui Il est, ne nous opposons plus à Son œuvre et à Sa parole et nous nous prosternons face contre terre devant Lui. Il n’est rien que nous désirions davantage que de suivre les pas de Dieu pour le restant de notre vie, être rendus parfaits par Lui, Lui rendre Sa grâce, Lui rendre l’amour qu’Il a pour nous, obéir à Ses orchestrations et à Ses arrangements, coopérer avec Son œuvre et faire tout ce que nous pouvons pour accomplir ce qu’Il nous confie.

Être conquis par Dieu ressemble à un tournoi d’arts martiaux.

Chacune des paroles de Dieu frappe l’un de nos points vitaux, nous laissant douloureux et remplis de terreur. Il expose nos notions, nos imaginations et notre tempérament corrompu. De tout ce que nous disons et faisons à chacune de nos pensées et de nos idées, notre nature et notre essence sont révélées dans Ses paroles, nous mettant dans un état de peur et de tremblements, sans nulle part où cacher notre honte. Il nous parle de toutes nos actions et de toutes nos intentions, une à une, et de tous nos buts, un après l’autre, même du tempérament corrompu que nous-mêmes n’avons pas découvert ; à cause de Lui, nous nous sentons exposés dans toute notre misérable imperfection et, plus encore, complètement convaincus. Il nous juge pour nous être opposés à Lui, nous châtie pour avoir blasphémé contre Lui et pour L’avoir condamné et nous fait sentir qu’à Ses yeux, nous n’avons pas la moindre caractéristique de la rédemption, que nous sommes le Satan vivant. Nos espoirs s’envolent, nous n’osons plus formuler une seule exigence déraisonnable ou espérer quoi que ce soit de Lui, et même nos rêves disparaissent du jour au lendemain. C’est un fait qu’aucun de nous ne peut imaginer et qu’aucun de nous ne peut accepter. En l’espace d’un instant, nous perdons notre équilibre interne et ne savons pas comment continuer la route qui s’étend devant nous ni comment persister dans nos croyances. On dirait que notre foi est retournée à la case départ et, une fois encore, que nous n’avons jamais rencontré le Seigneur Jésus ni appris à Le connaitre. Tout, sous nos yeux, nous remplit de perplexité et nous fait osciller de manière indécise. Nous sommes consternés, nous sommes déçus et, au fond de notre cœur, il y a une rage et un déshonneur irrépressibles. Nous essayons de leur donner libre cours, de trouver une issue et, plus encore, de continuer à attendre notre Sauveur Jésus pour que nous puissions épancher notre cœur auprès de Lui. Bien qu’il y ait des fois où nous donnons extérieurement l’impression d’être paisibles, ni hautains ni humbles, dans notre cœur, nous sommes affligés d’un sentiment de perte que nous n’avons jamais ressenti auparavant. Bien que nous puissions parfois extérieurement sembler inhabituellement calmes, notre esprit tourmenté s’agite comme une mer houleuse. Son jugement et Son châtiment nous ont dépouillés de tous nos espoirs et de tous nos rêves, mettant fin à nos désirs extravagants et nous rendant peu enclins à croire qu’Il est notre Sauveur et qu’Il est capable de nous sauver. Son jugement et Son châtiment ont creusé entre Lui et nous un fossé si profond que personne ne veut simplement essayer de traverser. C’est la première fois de notre vie que Son jugement et Son châtiment nous font subir un tel revers, une humiliation aussi grande. Son jugement et Son châtiment nous ont fait vraiment apprécier l’honneur de Dieu et Son intolérance vis-à-vis de l’offense de l’homme, à côté desquels nous sommes extrêmement méprisables, extrêmement impurs. Son jugement et Son châtiment nous ont fait comprendre pour la première fois à quel point nous sommes arrogants et prétentieux et à quel point l’homme ne sera jamais l’égal de Dieu ou sur un pied d’égalité avec Dieu. Son jugement et Son châtiment nous ont fait aspirer à ne plus vivre dans un tel tempérament corrompu, à nous débarrasser de cette nature et de cette essence aussi vite que possible et à cesser d’être ignobles et détestables pour Lui. Son jugement et Son châtiment nous ont rendus heureux d’obéir à Ses paroles : nous ne nous rebellons plus contre Ses orchestrations et contre Ses arrangements. Son jugement et Son châtiment nous ont donné, une fois de plus, le désir de chercher la vie et nous ont rendus heureux de L’accepter comme notre Sauveur… Nous sommes sortis de l’œuvre de la conquête, de l’enfer, de la vallée de l’ombre de la mort… Dieu Tout-Puissant nous a gagnés, nous, ce groupe de gens ! Il a triomphé de Satan et vaincu la multitude de Ses ennemis !

Nous ne sommes qu’un groupe de personnes si ordinaires, pourvues d’un tempérament satanique corrompu, prédestinées par Dieu avant les âges, les indigents que Dieu a élevés du tas de fumier. Jadis, nous rejetions et condamnions Dieu, mais maintenant, nous avons été conquis par Lui. De Dieu, nous avons reçu la vie, le chemin de la vie éternelle. Où que nous puissions être sur terre, quelles que soient les persécutions et les tribulations que nous endurons, nous ne pouvons être séparés du salut de Dieu Tout-Puissant. Car Il est notre Créateur et notre seule rédemption !

L’amour de Dieu s’étend comme l’eau d’un ruisseau et il vous est offert, aussi à moi, à lui et à tous ceux qui cherchent vraiment la vérité et attendent l’apparition de Dieu.

Tout comme la lune succède au soleil dans une alternance sans fin, l’œuvre de Dieu ne cesse jamais : elle est menée à bien sur vous, sur moi, sur lui et sur tous ceux qui suivent les pas de Dieu et acceptent Son jugement et Son châtiment.

Le 23 mars 2010

Source :  L'Église de Dieu Tout-Puissant

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