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Dieu-aime-le-monde
29 janvier 2019

Une grande montagne, un petit ruisseau, un vent violent et une vague géante

Un petit ruisseau serpentait d’un côté et de l’autre et il arriva finalement au pied d’une haute montagne. La montagne bloquait le chemin du petit ruisseau. Alors il demanda à la montagne dans sa petite voix faible :

« S’il te plait laisse-moi passer. Tu te dresses sur mon chemin et tu bloques mon parcours.

— Où vas-tu ? demanda la montagne.

— Je cherche mon chez-moi, répondit le petit ruisseau.

— Très bien, tu peux passer au-dessus de moi. »

Mais le petit ruisseau était trop faible et trop jeune pour pouvoir passer au-dessus d’une si haute montagne, donc il n’avait pas d’autre choix que de continuer à couler au pied de la montagne…

Un vent violent se leva, charriant du sable et de la poussière jusqu’à la montagne. Le vent cria à la montagne :

« Laisse-moi passer !

— Où vas-tu ? demanda la montagne.

— Je veux aller de l’autre côté de la montagne, hurla le vent.

— Très bien, si tu peux passer à travers moi, puis tu pourras partir. »

Le vent violent souffla dans ce sens et dans l’autre, mais peu importe la fureur de son souffle, il ne réussit pas à percer le milieu de la montagne. Le vent se lassa et s’arrêta pour se reposer. De ce côté-là de la montagne alors, un vent faible soufflait de temps à autre, ce qui plaisait aux gens qui vivaient là-bas. C’est ainsi que la montagne accueillait les gens…

Au bord de la mer, l’embrun océanique flottait légèrement vers le récif. Soudain, une vague géante surgit et rugit en roulant vers la montagne.

« Déplace-toi ! cria la vague géante.

— Où vas-tu ? demanda la montagne.

La grande vague ne s’arrêta pas et poursuivit son élan tout en répondant :

— J’élargit mon territoire et je veux un peu m’étirer les bras.

— Très bien, si tu peux passer au-dessus de mon sommet, je vais te céder le passage. »

La grande vague se retira un peu, puis une nouvelle fois bondit vers la montagne. Mais peu importe ses efforts, elle ne réussit pas à surmonter la montagne. Elle n’eut pas d’autre choix que de retourner lentement à son point de départ…

Pendant des siècles, le petit ruisseau coula doucement autour du pied de la montagne. En suivant le cours que la montagne avait tracé, le petit ruisseau retrouva son chez-soi ; il rejoignit la rivière et la suivit jusqu’à la mer. Sous la garde de la montagne, le petit ruisseau ne s’est jamais perdu. Le petit ruisseau et la haute montagne comptaient l’un sur l’autre, ils se retenaient l’un l’autre et dépendaient l’un de l’autre.

Pendant des siècles, le vent violent ne changea pas ses habitudes de hurler contre la montagne. Le vent violent soulevait de grands tourbillons de sable quand il « visitait » la montagne tout comme la première fois. Il menaçait la montagne, mais jamais il ne réussit à percer le milieu de la montagne. Le vent violent et la haute montagne comptaient l’un sur l’autre, ils se retenaient l’un l’autre et dépendaient l’un de l’autre.

Pendant des siècles, la vague géante ne se reposa pas non plus et ne cessa jamais de s’étirer. Elle rugissait et bondissait encore et encore vers la montagne, mais la montagne ne bougea pas d’un centimètre. La montagne veillait sur la mer, et ainsi, les créatures de la mer se multipliaient et prospéraient. La vague géante et la haute montagne comptaient l’une sur l’autre, elles se retenaient l’une l’autre et dépendaient l’une de l’autre.

Mon histoire est terminée. Tout d’abord, que pouvez-vous Me dire sur cette histoire ? Quel est son contenu principal ? Premièrement, il y a une montagne, et ensuite quoi ? (Un petit ruisseau, un vent violent et une vague géante.) Qu’est-il arrivé au petit ruisseau et à la haute montagne dans la première partie ? Vous en souvenez-vous ? (Le petit ruisseau coulait au pied de la haute montagne.) Le petit ruisseau qui coule au pied de la montagne. Est-ce l’histoire qui s’est passée entre eux ? Où coulait le ruisseau ? Pourquoi parlons-nous de la haute montagne et du petit ruisseau ? (La montagne protégeait le ruisseau, donc le ruisseau ne se perdit jamais. Ils comptaient l’un sur l’autre.) Diriez-vous que la montagne protégeait ou obstruait le petit ruisseau ? (Elle le protégeait.) Serait-il possible qu’elle l’ait obstrué ? La montagne et le petit ruisseau étaient ensemble. Elle protégeait le ruisseau et était aussi une obstruction. La montagne protégeait le ruisseau de sorte qu’il put couler dans la rivière, mais elle l’empêcha aussi de couler partout où il aurait pu causer une inondation et un désastre pour les gens. Cela est-il le point principal de cette partie ? (Oui.) La protection du ruisseau par la montagne et son obstruction ont protégé les maisons des gens. Ensuite, le petit ruisseau rejoint la rivière au pied de la montagne, et plus tard il se jette dans la mer. N’est-ce pas la nécessité du petit ruisseau ? (Oui.) Lorsque le ruisseau s’est joint à la rivière et ensuite à la mer, à quoi se comptait-il ? Se comptait-il à la montagne ? Il comptait sur la protection de la montagne et sur son rôle de barrière. Cela est-il le point principal ? (Oui.) Vois-tu l’importance que les montagnes ont pour l’eau dans ce cas ? (Oui, nous le voyons.) Est-ce important ? (Oui.) Dieu a-t-Il un but en faisant des montagnes hautes et des montagnes basses ? (Oui, Il a un but.) Il y a une raison, n’est-ce pas ? C’est une petite partie de l’histoire, et, seulement à partir d’un petit ruisseau et d’une haute montagne, nous pouvons voir la valeur et la signification de ces deux choses dans leur création par Dieu. Nous pouvons aussi voir Sa sagesse et Son dessein dans la façon dont Il gouverne ces deux choses. N’est-ce pas vrai ?

De quoi traite la deuxième partie de l’histoire ? (Un vent violent et une haute montagne.) Le vent est-il une bonne chose ? (Oui.) Pas nécessairement, car parfois un vent trop fort peut être désastreux. Comment te sentirais-tu si tu devais rester dehors dans un vent violent ? Tout dépend de sa force, pas vrai ? Si ce n’était qu’une brise légère, ou si c’était un vent de degré 2 à 3, ou un vent de degré 3 à 4, alors ce serait encore tolérable. Au plus, les gens auraient du mal à garder les yeux ouverts. Mais pourrais-tu l’endurer si le vent soufflait assez fort pour devenir une tornade ? Tu ne pourrais pas l’endurer. Donc, il est erroné de dire que le vent est toujours bon ou qu’il est toujours mauvais, car tout dépend de la force du vent. Alors, à quoi sert la montagne ici ? Est-elle un genre de barricade pour le vent ? (Oui.) La montagne saisit le vent violent et le réduit à quoi ? (Une brise légère.) À une brise légère. La plupart des gens pouvaient toucher le vent et le sentir dans l’environnement où ils vivaient. Était-ce un vent violent ou une brise légère qu’ils sentaient ? (Une brise légère.) N’est-ce pas l’un des objectifs de Dieu en créant des montagnes ? N’est-ce pas Son dessein ? Comment les gens pourraient-ils vivre dans un environnement où le vent violent charrie des grains de sable sans que rien ne puisse le bloquer ou le ralentir ? Se peut-il qu’avec du sable et des pierres charriés partout, il soit possible aux gens de vivre sur la terre ? Certains pourraient recevoir une pierre sur la tête et d’autres du sable dans les yeux, les empêchant de voir. Les gens pourraient être projetés dans l’air, ou le vent pourrait souffler si fort que les gens ne pourraient pas se tenir debout. Des maisons seraient détruites et toutes sortes de catastrophes se produiraient. Le vent violent a-t-il une valeur ? (Oui.) Laquelle ? Quand J’ai dit qu’il était mauvais, alors les gens pourraient penser qu’il n’a pas de valeur. Mais cela est-il vrai ? En faire une brise a-t-il de la valeur ? De quoi les gens ont-ils le plus besoin quand c’est humide ou étouffant ? Ils ont besoin d’une brise légère qui souffle doucement sur eux pour rafraichir et clarifier leurs esprits, pour calmer leur humeur et améliorer leur état d’esprit. Par exemple, vous êtes tous assis dans une pièce où il y a beaucoup de gens et l’air est étouffant. De quoi avez-vous le plus besoin ? (Une brise légère.) Dans les endroits où l’air est turbide et plein de poussière, la pensée des gens peut être retardée, leur débit sanguin réduit, ce qui les rend moins lucides. Cependant, l’air se rafraichira s’il peut passer et circuler et les gens vont se sentir beaucoup mieux. Même si le petit ruisseau et le vent violent pouvaient devenir une catastrophe, tant que la montagne est là, elle peut transformer cela en éléments qui soient réellement avantageux pour les gens. N’est-ce pas ?

De quoi traite la troisième partie de l’histoire ? (La haute montagne et la vague géante.) La haute montagne et la vague géante. Le paysage ici est une montagne près de la mer où l’on peut voir la montagne, les embruns océaniques, et aussi une vague géante. Quel est le rôle de la montagne pour la vague dans ce cas ? (Protéger et faire écran.) Elle protège et fait écran à la fois. C’est vrai ? Le but de protéger est d’empêcher cette partie de la mer de disparaitre de sorte que les créatures qui y vivent puissent prospérer. Comme écran, la montagne empêche l’eau de la mer, cette étendue d’eau, de déborder et de provoquer une catastrophe, ce qui endommagerait et détruirait les maisons des gens. C’est vrai ? Nous pouvons donc dire que la montagne sert à la fois d’écran et de protection. Cela montre l’importance de la relation de dépendance entre la montagne et le ruisseau, la montagne et le vent violent, et la montagne et la vague énorme et comment ils se retiennent les uns les autres et dépendent les uns des autres, J’ai parlé à ce sujet.

Une règle et une loi gouvernent la survie de ces choses que Dieu a créées. Cette histoire vous aide-t-elle à voir ce que Dieu a fait ? Dieu a-t-Il créé l’univers et ensuite ignoré ce qui s’y passe ? Leur a-t-Il donné des règles et conçu les modes de leur fonctionnement pour les ignorer après cela ? Est-ce cela qui est arrivé ? (Non.) Qu’est-il arrivé alors ? (Dieu a le contrôle.) Dieu contrôle toujours l’eau, le vent et les vagues. Il ne les laisse pas tout dévaster et Il ne les laisse pas endommager ou détruire les maisons des gens, et, à cause de cela, les gens peuvent continuer à vivre et à prospérer sur ce morceau de terre. Cela signifie que Dieu avait déjà prévu les règles de l’existence quand Il a créé l’univers. Lorsque Dieu a fait ces choses, Il s’est assuré qu’elles allaient bénéficier à l’humanité, et Il les a également contrôlées de sorte qu’elles ne causeraient pas de problèmes et ne seraient pas désastreuses pour l’humanité. Si elles n’étaient pas gérées par Dieu, les eaux ne couleraient-elles pas partout ? Le vent ne soufflerait-il pas partout ? Si Dieu ne les gérait pas, elles n’auraient aucune règle pour les gouverner, et le vent hurlerait et les eaux augmenteraient et inonderaient tout. Si la vague géante avait été plus élevée que la montagne, cette partie de la mer existerait-elle encore ? La mer ne pourrait pas exister. Si la montagne n’était pas plus élevée que la vague, cette partie de la mer n’existerait pas et la montagne perdrait sa valeur et sa signification.

[…]

En ce qui concerne la haute montagne et le petit ruisseau, qu’est-ce que la montagne ? Des choses vivantes prospèrent sur la montagne. Son existence a donc de la valeur en elle-même. En même temps, la montagne bloque le petit ruisseau, assurant qu’il ne coule pas partout où il veut, ce qui provoquerait un désastre pour les gens. N’est-ce pas vrai ? En vertu de son existence, la montagne permet à des choses vivantes comme les arbres, l’herbe, toutes les autres plantes et les animaux sur la montagne de prospérer tout en dirigeant le flot du ruisseau ; la montagne rassemble les eaux du ruisseau et les guide naturellement autour de sa base où elles peuvent couler dans la rivière, et finalement dans la mer. Les règles qui sont en place ici n’ont pas été établies par la nature, mais plutôt ont été spécialement arrangées par Dieu au moment de la création. En ce qui concerne la haute montagne et le vent violent, la montagne a aussi besoin du vent. La montagne a besoin du vent pour caresser les choses vivantes qui vivent sur elle, et en même temps, la montagne contient la force du vent violent de sorte qu’il n’écrase pas ni ne dévaste. Cette règle, en quelque sorte, constitue le devoir de la haute montagne. Donc, cette règle concernant le devoir de la montagne a-t-elle été établie par elle-même ? (Non.) Elle a plutôt été établie par Dieu. La haute montagne a son propre devoir et le vent violent a aussi son devoir. Maintenant, à propos de la haute montagne et de la vague géante, sans la montagne, l’eau trouverait-elle une direction pour son flot ? (Non.) L’eau écraserait également et dévasterait. La montagne a sa propre valeur comme montagne, et la mer a sa propre valeur comme mer. De cette façon, dans ces conditions où chacune ne gêne pas l’autre et où elles sont capables d’exister ensemble normalement, elles se contiennent également l’une l’autre. La haute montagne limite la mer afin qu’elle n’inonde pas et donc elle protège les maisons des gens, et cela permet aussi à la mer de nourrir les choses vivantes qui l’habitent. Ce paysage s’est-il formé par lui-même ? (Non.) Il fut aussi créé par Dieu. Nous voyons dans ces images que lorsque Dieu a créé l’univers, Il a prédéterminé l’emplacement de la montagne, le flot du ruisseau, la direction du vent, son point de départ et son parcours, ainsi que la hauteur des vagues géantes. Les desseins et le but de Dieu sont contenus dans toutes ces choses. Elles sont Ses actions. Maintenant, pouvez-vous voir que les actions de Dieu sont présentes en toutes choses ? (Oui.)

Extrait de « Suite de la Parole apparaît dans la chair »

Source :  L'Église de Dieu Tout-Puissant

 

 

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