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Dieu-aime-le-monde
1 juillet 2019

La discrimination contre les étrangers est très malveillante

Par Xiaojin

En février 2007, l’Église a reçu une ordonnance de travail intitulée « Arroser et approvisionner les nouveaux croyants pour les aider à s’enraciner aussi rapidement que possible. » Elle soulignait qu’« il est nécessaire de réassigner tous ceux qui sont efficaces et expérimentés dans l’arrosage des nouveaux croyants pour achever ces tâches. Ceux qui ne sont pas adéquats pour l’arrosage des nouveaux croyants ne doivent absolument pas être employés à cela et ils doivent être transférés afin que ce travail ne soit pas retardé » (L’échange du supérieur). Après avoir vu cette ordonnance, au lieu d’utiliser les principes pour mesurer si la sœur de notre district, qui arrosait les nouveaux croyants, était convenable, j’avais des idées préconçues contre elle : « Cette personne accomplissait son devoir de manière superficielle et ne se focalisait pas sur le fait de manger et boire les paroles de Dieu. De plus, elle se souciait de la chair, elle ne convenait donc pas à l’arrosage des nouveaux croyants. Plus important encore, elle pensait avoir un certain calibre et elle est donc devenue arrogante et méprisante envers les autres. La dernière fois, elle est allée voir les dirigeants supérieurs et a dit du mal de moi. Sans les exigences de mon travail, je ne lui aurais pas vraiment prêté attention. » En y réfléchissant, j’ai conçu un plan : pourquoi ne pas profiter de cette occasion pour la remplacer afin que je n’aie plus à la voir ? N’est-elle pas arrogante ? Je vais simplement la remplacer et je verrai ainsi l’étendue de son orgueil !

Par conséquent, je n’avais pas mesuré l’efficacité de son travail et je ne pensais pas à l’intérêt de l’Église. J’étais juste pressée de la remplacer. Plus tard, j’ai négligemment transféré une dirigeante d’Église au district pour accomplir la tâche d’arrosage. À mon avis, cette personne pouvait endurer des épreuves, elle avait des paroles gentilles et était une ouvrière rapide. Elle avait de la compassion pour les gens et convenait tout à fait à l’œuvre d’arrosage. Je ne m’étais pas rendu compte que les dirigeants supérieurs pensaient que cette personne était inadéquate et que la sœur initiale convenait tout à fait. Je me suis efforcée au maximum de faire l’éloge de cette dirigeante d’Église, au point même de dire qu’il n’y avait personne de meilleur qu’elle. Au moment même où je n’étais pas favorable au fait d’accepter leurs suggestions, j’ai reçu des nouvelles disant que cette dirigeante d’Église était surveillée par le grand dragon rouge. N’ayant pas d’autre choix possible, j’ai cessé de penser à moi-même et, à contrecœur, j’ai rétabli la sœur initiale. Mon cœur était profondément désemparé et déprimé, et je sentais que je n’avais aucun moyen d’exprimer mes frustrations.

Cela a continué jusqu’au jour où j’ai lu dans un passage de la prédication des hommes : « En quoi la question qui concerne ceux qui servent comme dirigeants et traitent les frères et sœurs qu’ils jugent déplaisants, qui s’opposent à eux et qui ont des perspectives complètement différentes d’eux est très sérieuse et doit être traitée avec précaution. S’ils n’entrent pas dans la vérité de cette question, ils feront certainement preuve de discrimination et censurerons ceux qui rencontreront ce type de problème. Ce genre d’action est précisément l’expression de la nature du grand dragon rouge qui résiste à Dieu et Le trahit. Si ceux qui servent comme dirigeants poursuivent la vérité et possèdent une conscience et une raison, ils chercheront la vérité et traiteront ce problème correctement » (L’échange du supérieur). À ce moment-là, je ne pouvais pas m’empêcher de repenser au récent transfert de personnel d’arrosage du district. À cette époque-là, Dieu m’a empêchée de faire une chose mauvaise afin de défendre Sa propre œuvre, ce qui a empêché mon plan de réussir. Cependant, la nature satanique et le poison du grand dragon rouge en moi se sont entièrement révélés. L’ordonnance de travail soulignait clairement de faire tout son possible pour arroser les nouveaux croyants et mettre en place un personnel d’arrosage adapté. Mais en dépit de l’urgence de Dieu à sauver les gens, et sans penser à effectuer correctement le travail, j’ai pris la liberté de discriminer et d’attaquer la personne qui m’avait offensée. En faisant cela, n’étais-je pas en train d’utiliser la même méthode méprisable que le grand dragon rouge pour éliminer les étrangers ? Comment cela servait-il Dieu ? Cela réprimait et discriminait tout simplement les gens. Cela interrompait et perturbait l’œuvre de l’Église. J’ai vraiment été profondément corrompue par Satan. Mes actions n’étaient pas différentes de celles du grand dragon rouge. Le grand dragon rouge utilise des moyens déplorables pour éliminer les étrangers. Je remplaçais aussi la personne qui m’avait offensée au nom de la mise en pratique de l’ordonnance du travail. Le grand dragon rouge promeut ceux en qui il a confiance et je promouvais une personne que je croyais personnellement bonne et qui se conformait à mon opinion. Le grand dragon rouge suit ce code satanique : « Ceux qui se soumettent prospéreront ; ceux qui résistent périront. » J’avais aussi utilisé mon « autorité » pour me venger sur la personne qui m’avait offensée et qui avait des préjugés à mon sujet. Le grand dragon rouge déforme les faits ; il est injuste et déloyal. J’étais émue lorsque je critiquais aveuglément la personne qui ne se conformait pas à ma volonté. Je parlais constamment en faveur de la personne que j’aimais au point même d’exagérer, parlant en dépit des faits… Maintenant, je vois que le poison du grand dragon rouge est profondément enraciné en moi. Il est déjà devenu une partie de ma vie, à tel point qu’il affecte chaque aspect de mon comportement. Le poison du grand dragon rouge me rend machiavélique et malveillante ; il rend mon âme sale, pitoyable et laide, ce qui me conduit involontairement à résister à Dieu. Sans l’illumination de Dieu, je vivrais encore dans ma propre corruption et je continuerais à ruminer mes échecs. Je ne saurais sûrement pas que j’avais complètement perdu mon bon sens et ma conscience, et que ma conduite avait offensé le tempérament de Dieu.

Dieu Tout-Puissant, Tes révélations m’ont fait voir que ma nature est trop malfaisante et pitoyable. Je suis la parfaite incarnation du grand dragon rouge ; ma conduite n’est pas différente de celle du grand dragon rouge. À partir de maintenant, je désire poursuivre activement la vérité. Je vais m’analyser moi-même en comparant mes pensées, mes paroles et mes actions à la parole de Dieu, et reconnaître la nature du grand dragon rouge en moi. Je verrai clairement sa substance et la détesterai vraiment, je m’en détournerai et serai une vraie personne empreinte d’humanité pour conforter Ton cœur !

Source :  L'Église de Dieu Tout-Puissant

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